Paris
Gabriel Fouquet arrive un soir d’automne dans l’hôtel tenu par Albert Quentin sur la côte normande. Une amitié va naître entre les deux hommes. L’un boit, l’autre ne boit plus. On se souvient du film de Henri Verneuil, du feu d’artifice et de cette cuite mémorable entre le jeune et le vieux où il est question de Yang-Tsé-kiang, de Manolete, de Joselito, de fusiliers marins... On se souvient des répliques de Michel Audiard, fidèle à l’esprit et à l’humour d’Antoine Blondin, dont certaines sont devenues cultes : « - Les Princes de la cuite ! Les Seigneurs ! Ils vous laissent à vos putasseries, les Seigneurs ! Ils sont à 100 000 verres de vous ! Eux, ils tutoient les anges ! » « - Dis-toi bien que si quelque chose devait me manquer, ça serait plus le vin, ça serait l’ivresse. » On aurait tort, pourtant, de réduire le roman d'Antoine Blondin à un éloge de l’alcoolisme. «Un singe en hiver», c’est presque le contraire, c’est l’histoire d’un homme à l’automne de sa vie qui cherche jusqu’au bout à protéger son ami contre les conséquences accablantes de l’ivresse. Il reconnaît peut-être aussi en lui le fils qu’il n’a pas eu. Eddy Mitchell et Fred Testot reprennent avec complicité et gourmandise les rôles tenus au cinéma par Jean Gabin et Jean-Paul Belmondo.

Plan d’accès Théâtre de Paris

Comment se rendre au Théâtre de Paris

  • Trinité, Blanche, Saint Lazare
  • 26, 32, 43, 68, 74, 81
  • Service Voiturier 10 €

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