Distribution : Loïc LEGENDRE, Yannik MAZZILLI, Ariane MOURIER, Aude ROMAN, Cyril GARNIER
Mise en scène : David ROUSSEL
Dans cette comédie, vous ne verrez pas de lapins, mais cinq comédiens qui jouent cette histoire farfelue (...). Cette pièce aussi drôle qu’intrigante et poétique, nous accompagne durant 1h15 de bonheur, à travers la vie des personnages. Elle nous interroge sur le sens de la vie te en rigole... Lire plus
Dans cette comédie, vous ne verrez pas de lapins, mais cinq comédiens qui jouent cette histoire farfelue (...). Cette pièce aussi drôle qu’intrigante et poétique, nous accompagne durant 1h15 de bonheur, à travers la vie des personnages. Elle nous interroge sur le sens de la vie te en rigole aisément avec un humour décalé, au plaisir des spectateurs.»
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« Deux personnages centraux, deux sœurs jumelles, qui se ressemblent autant physiquement qu’elles sont dissemblables quand à leurs modes de vie et leur regard sur ce qu’il les entoure. On pourra presque parler d’une sorte de schizophrénie identitaire. Autour du double rôle tenu par... Lire plus
« Deux personnages centraux, deux sœurs jumelles, qui se ressemblent autant physiquement qu’elles sont dissemblables quand à leurs modes de vie et leur regard sur ce qu’il les entoure. On pourra presque parler d’une sorte de schizophrénie identitaire.
Autour du double rôle tenu par Ariane Mourier qui signe cette comédie, gravitent des personnages tels qu’un psy, un policier un peu « coucouillon », une bonne copine confidente, un chef des services de la sureté intérieure limite psychopathe…
Tout ce petit monde gravite avec une belle énergie sur le plateau pour enchaîner les ambiances et les situations.
Les dialogues sont souvent drôles, les acteurs bien campés dans leur personnages.
Passer (entre autres) d’un psy au personnage d’un policier un peu limité relève d’une vraie capacité d’adaptation!
Tous ces personnages au service d’un conte moderne, fait des réalités quotidiennes, des doubles existentiels, de la peur de la solitude.
Un très bon moment de détente, une respiration salutaire et un peu d’optimisme ! »
Les lapins sont toujours en retard propose une mise en scène colorée et pleine de surprises.
Tout comme le titre décalé et original, la pièce, tant sur le fond que sur la forme, sort des sentiers battus et s’avère un objet théâtral difficilement identifiable. Disons qu’Alice l’héroïne, alias Ariane Mourier l’auteur, à l’aide de subterfuges... Lire plus
Tout comme le titre décalé et original, la pièce, tant sur le fond que sur la forme, sort des sentiers battus et s’avère un objet théâtral difficilement identifiable. Disons qu’Alice l’héroïne, alias Ariane Mourier l’auteur, à l’aide de subterfuges (séances chez un psy, confidences entre amies…) et au travers d’instantanés de vie quotidienne, exprime une quête identitaire universelle. Comment grandir quand on n’a pas envie de se marier, ni d’avoir d’enfant, et qu’on trouve que ce n’est pas facile d’être heureux ? Quelles sont les clés données à la nouvelle génération pour affronter la cruauté ou l’absurdité du monde ? Peut-on croire aujourd’hui que tout est possible ? …
Dis comme ça, cela peut paraître pompeux mais, en fait, comme c’est remarquablement joué et écrit, c’est tout le contraire et on rit tout le temps.
Mention spéciale à la mise en scène hyper rythmée de David Roussel servie par une brillante distribution à la hauteur d’une galerie de personnages hauts en couleur. Autre mention, et pas des moindres, à l’inventive scénographie de Sarah Bazennerye et aux lumières graphiques de Denis Koransky totalement en adéquation avec l’écriture moderne, vive, voire haletante, de ce conte contemporain extrêmement drôle !
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