Paris
Spectacles à Paris

Le temps qui nous sépare de la foudre, d'après Jacques Prévert et J-MG Le Clézio 

Les mots de Jacques Prévert et de J-MG Le Clézio pour célébrer la vie et l’amour !

« Le temps qui nous sépare de la foudre », est un appel à la joie !

 

Né d’un montage de Paroles, Spectacle, Choses et autres et Imaginaires de Jacques Prévert et de L’Africain de J-MG Le Clézio, ce spectacle pétillant nous entraîne dans l’histoire d’une jeune fille, ses souvenirs, ses doutes et ses confessions…

 

Le réalisme et le concret de J-MG Le Clézio viennent à la fois rompre et soutenir le burlesque, l’humour et la fantaisie de Prévert qui joue avec les mots, les attrape et s’en amuse, les associant, les opposant, les détournant et les faisant sonner les uns contre les autres.

 

Deux auteurs, deux styles et deux comédiennes sur scène pour « essayer d’être heureux, ne serait-ce que pour donner l’exemple » comme disait si bien Jacques Prévert.

Distribution : Eglantine PERREAUApolline BERCHOLZ

Mise en scène : Eglantine PERREAUApolline BERCHOLZ

Avec la participation de : Paloma FIERE

Adaptation : Eglantine PERREAUApolline BERCHOLZ

Plan d’accès Théâtre de la Contrescarpe

Comment se rendre au Théâtre de la Contrescarpe

  • Place Monge (Ligne 7), Cardinal Lemoine (Ligne 10)
  • Luxembourg (RER B)
  • Monge (47), Cardinal Lemoine (47, 89) et Panthéon (84)
  • Soufflot-Panthéon
  • 5110, 5012, 5016
  • Paris/Lacépède et Paris/Monge

La presse en parle - Le temps qui nous sépare de la foudre, d'après Jacques Prévert et J-MG Le Clézio

Bulles de culture
Pièce très pétillante !

  Critique / « Le temps qui nous sépare de la foudre » au Théâtre de la Contrescarpe Il faudra attendre la fin du confinement et la réouverture des théâtres pour aller voir Eglantine PERREAU et Apolline BERCHOLZ dans Le temps qui nous sépare... Lire plus

 

Critique / « Le temps qui nous sépare de la foudre » au Théâtre de la Contrescarpe
Il faudra attendre la fin du confinement et la réouverture des théâtres pour aller voir Eglantine PERREAU et Apolline BERCHOLZ dans Le temps qui nous sépare de la foudre, cette pièce très pétillante qui associe l’œuvre de Jacques Prévert et Jean-Marie Gustave Le Clézio. L’avis et la critique d’un rédacteur invité.
Synopsis :
« La vie n’est pas toujours drôle mais il faut croire au bonheur ». Telle est la morale de ce spectacle original qui nous livre les confessions et les souvenirs d’une jeune fille pleine de vivacité, interprétée en duo pas deux jeunes comédiennes qui ne manquent ni de réparties, ni de drôleries.

Le temps qui nous sépare de la foudre : rencontre avec Le Clézio et Prévert
Le temps qui nous sépare de la foudre débute par La Valse à mille temps de Jacques Brel. Autant dire que le décor est planté : « Au premier temps de la valse, toute seule tu souris déjà. Au premier temps de la valse, je suis seule, mais je t’aperçois. Et Paris qui bat la mesure… ». Au fil de jeux de mots et de figures de style à la Prévert, mais aussi du langage contemporain, nous sautons du coq à l’âne entre des sentiments personnels, des scènes de rue ou de famille. On déambule dans le 6e arrondissement, rue de Tournon, à quelques pas de Luxembourg, et en fin de semaine on s’aère du côté du côté du bois de Boulogne.

Nous sommes dans un monde d’ados ou post ados où tout va très vite, notamment la parole, car on a tellement de choses à dire, mais aussi à redire sur un monde qui ne tourne pas toujours rond. D’ailleurs, la veste kaki de militaire sied à merveille à nos jolies comédiennes.

Après le stress parisien suivent les vacances au bord de la mer. Pas à Cannes, comme pour Michel Jonaz, qui se contentait à regarder les bateaux, mais en Bretagne où les bottes et le ciré sont de rigueur pour affronter le crachin. Les amoureux de pêche aux coquillages, de crêpes au sarrasin et de toits en ardoise seront comblés. Le petit port de Sainte Marine, en face de Bénodet, est mis en exergue avec raison.

Le temps qui nous sépare de la foudre fait écho au nouveau roman de Jean-Marie Le Clézio publié en début d’année 2020 chez Gallimard : Chanson bretonne. Il faut, en effet, se souvenir que JM G Le Clézio, a souvent été prénommé « l’africain », mais a passé la majeure partie de son enfance en Bretagne.

Dans son dernier ouvrage, le prix Nobel de littérature 1968 écrit notamment : « C’est le sentiment le plus durable que je garde de cette enfance en Bretagne, peut-être parce qu’il rejoint d’une certaine façon la magie de la nature en Afrique, la puissance des orages électriques et des pluies torrentielles qui cascadaient sur le toit de notre case à Ogoja… En Bretagne la violence de la mer, du vent, de la pluie, mais aussi la brûlure du soleil certains jours… la solitude des criques encombrées de galets géants troués de grottes où les vagues explosent… »

Ceux qui connaissent la Pointe de Trévignon ou le Raz de Sein par gros temps ne peuvent qu’adhérer à cette description. Oui, Le temps qui nous sépare de la foudre, n’est pas toujours à des kilomètres, quand on sait que la vitesse du son au niveau de la mer est de 340 m/s.
Il est tout aussi rapide Théâtre à la Contrescarpe où deux jeunes femmes nous parlent de la pluie et du beau temps. « La pluie et le beau temps », qui nous ramène au 4e recueil de Jacques Prévert, où l’auteur nous parle de tout et de rien : de Paris, du temps qui passe, de la guerre, de l’amour, de la vie…

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Reparties pleines de vivacité et de drôlerie !

Apolline Bercholz commence le spectacle en interprétant avec l’aide d’un simili accordéon la chanson de Jacques Brel  "La valse à mille temps" inspirée d’un poème de Jacques Prévert. Ensuite, avec sa talentueuse amie Églantine Perreau, elles captivent le public pendant une... Lire plus

Apolline Bercholz commence le spectacle en interprétant avec l’aide d’un simili accordéon la chanson de Jacques Brel  "La valse à mille temps" inspirée d’un poème de Jacques Prévert.
Ensuite, avec sa talentueuse amie Églantine Perreau, elles captivent le public pendant une heure avec un spectacle de reparties pétillantes et drôles.
Elles racontent la vie d’une jeune fille, évoquant ses espoirs et ses doutes.
Les deux amies avec leurs reparties pleines de vivacité et de drôlerie passent d’un souvenir à un autre essayant de toujours présenter le bon côté des choses.
La vie n’est pas toujours drôle sur cette terre, mais il faut croire au bonheur.
            AIMONS  ET RESTONS  JOYEUX  !
Tel est le conseil que nous donnent les deux talentueuses comédiennes.
Jacques Brel pouvait conclure le spectacle avec sa chanson :  "Ne me quitte pas…"  (un peu nostalgique).


JACQUES PRÉVERT (1900-1978) est le POÈTE FRANÇAIS du vingtième siècle.
Son langage familier enrichi de jeux de mots en font un poète populaire.
Son premier recueil   "Paroles" suivi de  "Spectacle", "La pluie et le beau temps" etc. … Il fut également le scénariste de Marcel Carné pour  "Drôle de dame".
J-M. G. LE CLÉZIO est né à Nice en 1940. Auteur d’une quarantaine de romans, contes ou essais. Fils d’un médecin breton vivant dans la brousse africaine, il cherche à traduire la diversité du vivant dans ses manifestations les plus insolites.
Il reçoit le prix Nobel de littérature en 2008.

Hervé Lejosne et Marie Claire Juniet

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