Paris

Maxime d’Aboville s’empare de la parole inspirée d’un monstre sacré nommé Michel Bouquet.


1943. Fuyant une réalité qui l’opprime, le jeune Bouquet embrasse la vocation d’acteur comme on entre dans les ordres. Traversant un siècle déroutant émaillé de rencontres exaltantes – son premier employeur s’appelle Albert Camus – il sera serviteur des grands textes pour montrer l’homme à l’homme et lui révéler ses mystères.


Dans une société qui englobe et nivelle, cette parole singulière, intuitive et souvent drôle sonne comme un vibrant plaidoyer en faveur de la liberté intérieure, l’exigence personnelle et la restauration de l’individu.

Distribution : Maxime D'ABOVILLE

Mise en scène : Damien BRICOTEAUX

Plan d’accès Théâtre de Poche-Montparnasse (Grande salle)

Comment se rendre au Théâtre de Poche-Montparnasse (Grande salle)

  • Montparnasse Bienvenue
  • 58, 82, 89, 91, 92, 94, 95, 96
  • Gare Montparnasse
  • Tour Montparnasse, FNAC rue de Rennes

La presse en parle - Je ne suis pas Michel Bouquet

Passionnant et remarquablement interprété par Maxime d’Aboville.

Ce dernier, qui, à l’instar des débuts de Michel Bouquet, remarqué par Maurice Escande l’entendant pour la première fois lui aurait dit : « Vous avez une bonne voix, vous avez une bonne diction ». Michel Bouquet a passé le flambeau à Maxime d’Aboville , la... Lire plus

Ce dernier, qui, à l’instar des débuts de Michel Bouquet, remarqué par Maurice Escande l’entendant pour la première fois lui aurait dit : « Vous avez une bonne voix, vous avez une bonne diction ». Michel Bouquet a passé le flambeau à Maxime d’Aboville, la roue tourne... Un moment de théâtre à ne pas manquer ! »

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Beaucoup de finesse

Au fil de cette parole intime, il est donc beaucoup question de l’art de l’acteur, aiguisé en solitaire comme une façon d’être au monde : jamais dupe de rien, et surtout pas des mesquineries humaines ! Car Michel Bouquet, né en 1925, a traversé le siècle dernier, et ses confidences en... Lire plus

Au fil de cette parole intime, il est donc beaucoup question de l’art de l’acteur, aiguisé en solitaire comme une façon d’être au monde : jamais dupe de rien, et surtout pas des mesquineries humaines ! Car Michel Bouquet, né en 1925, a traversé le siècle dernier, et ses confidences en disent aussi beaucoup sur les années 1930 ou la noirceur de l’Occupation. Son ressenti de jeune homme, fils d’un père taiseux abîmé par deux guerres, parvenant, enfin, à identifier la passion qui lui permettra de sortir la tête de l’eau, est ici exprimé avec beaucoup de finesse par Maxime d’Aboville.

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Maxime d’Aboville, acteur précis et vif.

On pensait entendre une leçon de théâtre certes passionnante mais un peu sentencieuse sur la pratique du comédien. Erreur. On découvre les confidences d’un homme cherchant sa voie au sortir de la guerre, s’arrimant au théâtre pour ne plus le quitter. En adaptant et en incarnant sur... Lire plus

On pensait entendre une leçon de théâtre certes passionnante mais un peu sentencieuse sur la pratique du comédien. Erreur. On découvre les confidences d’un homme cherchant sa voie au sortir de la guerre, s’arrimant au théâtre pour ne plus le quitter. En adaptant et en incarnant sur scène les propos de Michel Bouquet (ils furent recueillis par Charles Berling), Maxime d’Aboville fait apparaître, au-delà de la légende vivante, l’image d’un artiste que ses doutes, ses timidités, ses maladresses et sa lucidité humanisent. C’est un Bouquet sincère, désarmant, parfois colérique, souvent désopilant qui se confie dans une suite d’anecdotes dont aucune ne peut s’anticiper. La surprise (et donc l’intérêt) sans cesse réitérée, vient du texte, bien sûr, mais aussi de Maxime d’Aboville, acteur précis et vif, dont les phrases bondissent et rebondissent avec une souplesse de chat.

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Un bijou de spectacle.

Un bijou de spectacle, souvent très drôle. Une leçon de vie.

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Maxime d’Aboville célèbre Michel Bouquet avec les mots de Michel Bouquet.

Maxime d’Aboville célèbre Michel Bouquet avec les mots de Michel Bouquet.

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Un moment passionnant !

Dans Je ne suis pas Michel Bouquet, on écoute le grand comédien. Il parle de sa vie autant que de son art par le truchement du fin Maxime d’Aboville, dirigé par Damien Bricoteaux. (…) Un moment passionnant qui excède bien la « boutique » ! Et vous rirez souvent, notamment lorsque Bouquet... Lire plus

Dans Je ne suis pas Michel Bouquet, on écoute le grand comédien. Il parle de sa vie autant que de son art par le truchement du fin Maxime d’Aboville, dirigé par Damien Bricoteaux. (…) Un moment passionnant qui excède bien la « boutique » ! Et vous rirez souvent, notamment lorsque Bouquet raconte certaines scènes tournées pour Chabrol.

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Une brillante prestation.

Sans le copier, Maxime d’Aboville se glisse dans la peau du grand comédien et donne corps à une carrière passionnée. Une brillante prestation. Ce n’est pas un hommage, plutôt une leçon de théâtre, une leçon de vie, même si, et c’est d’ailleurs la... Lire plus

Sans le copier, Maxime d’Aboville se glisse dans la peau du grand comédien et donne corps à une carrière passionnée. Une brillante prestation.
Ce n’est pas un hommage, plutôt une leçon de théâtre, une leçon de vie, même si, et c’est d’ailleurs la première réplique du spectacle « une génération n’apprends rien à une autre »

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Il emporte l'adhésion quasi inconditionnelle du public.

Maxime d'Aboville a donc entrepris la restitution de ces propos "avec la distance évidente de l’âge permet aussi de raconter la fraternité, qui implique l’altérité" sans bien évidemment oeuvrer dans la composition mimétique d'un homme dont il n'a pas bien sûr ni le physique ni... Lire plus

Maxime d'Aboville a donc entrepris la restitution de ces propos "avec la distance évidente de l’âge permet aussi de raconter la fraternité, qui implique l’altérité" sans bien évidemment oeuvrer dans la composition mimétique d'un homme dont il n'a pas bien sûr ni le physique ni l'âge mais également ni la voix ni le phrasé. Elle est délivrée en adresse au public, telle une causerie en coulisse sur le ton de la confidence amusée, devant une simple toile abstraite en fond de scène peinte par Marguerite Danguy des Déserts qui semble évoquer le rideau de sécurité en fer équipant certains théâtres, avec une faconde, une scansion et une expressivité révélant une troublante similitude luchinienne. Et elle emporte l'adhésion quasi inconditionnelle du public.

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Maxime d'Aboville, par le biais de Michel Bouquet, nous livre une déclaration d'amour au Théâtre.

Voici donc un très beau moment de théâtre. Un comédien nous parle d'un homme, d'un Maître, d'un art plus que d'un métier. Et du terrible Paradoxe du métier en question. Maxime d'Aboville, par le biais de Michel Bouquet, nous livre une déclaration d'amour au Théâtre. Il faut...

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Un bel hommage du non moins génial Maxime d’Aboville.

Maxime d’Aboville, admirateur de Michel Bouquet (on le comprend !), prend à bras le corps le texte, les mots de Bouquet. Ce n’est pas une imitation du grand comédien, bien entendu, mais un parcours, une philosophie de vie. La mise en scène de Damien Bricoteaux est sobre, une chaise devant un rideau, fort belle... Lire plus

Maxime d’Aboville, admirateur de Michel Bouquet (on le comprend !), prend à bras le corps le texte, les mots de Bouquet. Ce n’est pas une imitation du grand comédien, bien entendu, mais un parcours, une philosophie de vie. La mise en scène de Damien Bricoteaux est sobre, une chaise devant un rideau, fort belle composition de Marguerite Danguy Des Déserts et François Loiseau pour les lumières. Un spectacle intéressant qui fera découvrir d’autres facettes de Michel Bouquet. Un bel hommage du non moins génial Maxime d’Aboville.

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Une leçon de vie, de théâtre, d’amour !

Dans un bel écrin aux reflets dorés, Damien Bricoteaux a accompagné Maxime d’Aboville sur la rivière des souvenirs, s’arrêtant çà et là au gré des anecdotes. Soufflant de temps en temps dans la voilure pour donner du relief, du rire, de l’émotion, aux... Lire plus

Dans un bel écrin aux reflets dorés, Damien Bricoteaux a accompagné Maxime d’Aboville sur la rivière des souvenirs, s’arrêtant çà et là au gré des anecdotes. Soufflant de temps en temps dans la voilure pour donner du relief, du rire, de l’émotion, aux expressions de Maxime d’Aboville dans un récit tendre, léger, aux martèlements libérateurs. Un travail fusionnel pour un résultat passionnant au service de l’art théâtral. Chacun dans sa partition, dans son rôle a donné naissance à cette belle histoire nommée : Je ne suis pas Michel Bouquet. Une leçon de vie, de théâtre, d’amour qui mérite votre visite.

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Véritable pépite de théâtre !

Véritable pépite de théâtre, « Je ne suis pas Michel Bouquet » ne s’adresse pas uniquement aux comédiens et passionnés inconditionnels de cinéma et de théâtre. La forte dimension humaine qui s’en dégage, l’ironie mordante de certains propos... Lire plus

Véritable pépite de théâtre, « Je ne suis pas Michel Bouquet » ne s’adresse pas uniquement aux comédiens et passionnés inconditionnels de cinéma et de théâtre. La forte dimension humaine qui s’en dégage, l’ironie mordante de certains propos mâtinés de tendresse composent un témoignage de vie singulier.

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